Savoir se défendre est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Edward Kenway, revécue en 2013 par un chercheur d'Abstergo Entertainment à travers l'Animus.
Description
Edward et Thatch se mirent à l'idée de se procurer un galion afin de défendre Nassau.
Dialogue
Edward et Adewalé retrouvèrent Edward Thatch et James Kidd.
- Thatch: À notre république pirate, les gars. Nous sommes prospères et libres, hors d'atteinte des rois, du clergé et des collecteurs de dettes.
- Kidd: Pas moins de cinq cents hommes ont déjà juré leur allégeance aux Frères de la côte de Nassau. On a pas à se plaindre.
- Thatch: C'est vrai. Sauf que nos défenses sont trop fragiles. Si le roi voulait attaquer la ville, il nous terrasserait.
- Edward: C'est pour ça qu'on doit trouver l'Observatoire. Si ces Templiers ont vu juste, on sera imbattables.
- Thatch: Tu vas la boucler, Kenway. Ce n'est qu'un conte de bonne femme. Je te parle de véritables défenses. Prendre un galion, placer tous ses canons sur le même bord. Ça ferait un joli comité d'accueil dans notre petit port.
- Adewalé: Ce sera vraiment pas facile de voler un galion aux Espagnols. T'en as un en tête ?
- Thatch: Oui, mon ami. Attends de le voir. Un galion, c'est comme une tortue. Gros et lent.
Edward et Thatch montèrent à bord du Jackdaw et se lancèrent à la recherche d'El Arca del Maestro.
- Thatch: Ton Jackdaw a fière allure. Tu l'as pris aux Espagnols, c'est ça ?
- Edward: Aye, au beau milieu d'un ouragan.
- Adewalé: Juste avant que la flotte du Trésor finisse brisée sur le rivage.
- Thatch: Elle transportait autant de richesses qu'on le raconte ?
- Edward: Mille fois plus. La mer a englouti plus d'un million de livres de trésors ce jour-là.
- Thatch: Le diable aime les ouragans ! J'irai y plonger un jour. Histoire de voir ce qu'on pourra remonter.
- Adewalé: Plonger dans les épaves, ce serait pas une mauvaise idée. Plus besoin de prendre des risques face aux navires marchands.
- Thatch: Ah ! Des paroles bien douces dans la bouche d'un pirate. Mais je dois dire que... je suis d'accord. On réservera nos lames aux marins du roi, et à tous ceux qui se dresseront sur notre chemin.
- Thatch: Ralentis l'allure. On ne sait pas sur quoi on peut tomber ici.
- Adewalé: J'ai l'impression de regarder à travers une cascade.
- Edward: Arrêtez de pleurnicher, les gars. Je sais ce que je fais.
Edward retrouva la trace du galion et le prit en chasse.
- Adewalé: Ce navire est un vrai monstre ! Regardez un peu sa taille !
- Thatch: Aye. On ne fera pas long feu face à lui. Tu m'entends, Kenway ? Reste à distance, on attaquera quand la fortune nous tendra la main.
- Edward: Ou quand la nuit sera tombée, mon ami.
- Thatch: Aye, ça se pourrait bien.
Des navires attaquèrent le galion.
- Thatch: Charles Vane. Un rascal qui n'a peur de rien.
- Edward: Un vieil ami à toi ?
- Thatch: Plutôt une vieille connaissance. Je dois dire qu'on navigue ces mers depuis si longtemps que j'ai fini par le respecter.
Le galion fit usage de ses mortiers, et le Jackdaw dut s'éloigner du navire.
- Thatch: Charles Vane qui part la queue entre les jambes. Voilà enfin une bonne nouvelle.
D'autres navires vinrent défendre le galion.
- Thatch: Les misérables crapules ! Il va falloir s'occuper de ces moustiques au plus vite. Oublie le galion et envoie ces intrus en enfer.
Edward coula les canonnières espagnoles.
- Edward: Il se dirige vers cette île.
- Thatch: Je connais l'endroit. Une place forte naturelle où se terre un capitaine français appelé du Casse.
- Edward: Julien du Casse ? Le Templier ?
- Thatch: C'est bien le nom. J'ignorais qu'il avait un titre.
- Edward: Je connais cet homme. S'il voit mon navire, il se souviendra l'avoir vu à La Havane. Et il se demandera qui le commande. Je ne peux pas le risquer.
- Thatch: Et moi, je ne peux pas perdre ce galion. Attends un peu... On pourrait attendre que la nuit tombe et grimper à bord.
Conséquences
Edward suivit le galion jusqu'à sa planque, et découvrit l'identité de son propriétaire, le Templier Julien du Casse.