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ACB Ezio Lanterne Arquebusiers

Ezio s'accrochant à une lanterne dans sa fuite

Les obstacles étaient des éléments interactifs de course libre initialement présents dans la représentation virtuelle des mémoires génétiques de l'ancêtre d'un sujet.

Des variantes furent ensuite ajoutées dans la simulation dans le cadre du programme d'entraînement Animus, permettant ainsi de distancer plus facilement son poursuivant.

Durant la troisième étape du programme d'entraînement d'Abstergo Industries, les obstacles mettaient trois à cinq secondes à se réinitialiser et à redevenir utilisables.[1] Néanmoins, ceux présents dans les lieux secrets étaient définitivement inaccessibles après avoir été actionnés par des gardes agiles.[2]

Catégories d'obstacles[]

Palans et élévateurs[]

Palans

Ezio utilisant un palan

Le palan était composé d'une corde et d'un système de poulies, qui permettait de se déplacer rapidement depuis la rue jusqu'aux toits.

Chaque palan est composé d'une corde attachée à un poids suspendu (généralement quelques briques regroupés dans un filet). La corde était tendue et maintenue en place par un levier, il suffisait alors aux Assassins de relâcher le levier ou de trancher et se tenir à la corde pour être tiré vers le haut d'un immeuble.

Ce système existait à Rome, Monteriggioni,[3] et Constantinople[4] pendant la Renaissance. Il était aussi utilisé à Boston et à New York pendant la Révolution américaine[5], puis à Versailles, Paris et Franciade durant la Révolution française.[6]

Son utilisation par les Assassins a vraisemblablement été délaissée au profit du lance-grappin, une modification du gantelet d'Assassin apportée par les Assassins britanniques Jacob et Evie Frye.[7]

Au XXIe siècle, des palans furent positionnés par Abstergo à des emplacements stratégiques de leurs terrains d'entraînement virtuels.[3][4][1][8]

Objets en suspension[]

ACIV Ocracoke Bombardement Parkour

Edward Kenway s'accrochant à une poulie

À la Renaissance, des objets tels que des pots de fleurs ou des lanternes étaient suspendus à l'angle de certains édifices de Florence, Monteriggioni, San Gimignano, Forlì, Venise[2] et Rome.[3] Ce dispositif permettait aux Assassins d'effectuer un virage serré autour d'un bâtiment sans être ralenti.

À Constantinople, les Assassins ottomans détournèrent leur utilisation. En effet, leur lame-crochet, combinée à ces objets, leur permettait non seulement de pivoter autour d'un immeuble mais aussi d'être propulsé en face sur quelques mètres.[4]

Durant l'Âge d'or de la piraterie, dans les villes de Kingston, Nassau et La Havane, mais aussi dans divers lieux des Caraïbes, le pirate Edward Kenway eut recours à des systèmes similaires, dont des drapeaux flottant à l'angle d'une rue ou des grues sur charnières.[8] Ses descendants Haytham Kenway et Ratonhnhaké:ton en firent de même à Boston et New York durant la guerre d'Indépendance,[1] tout comme le faisait Shay Cormac au cours de la guerre de Sept Ans[9], Adewalé à Saint-Domingue dans les années 1730,[10] et Aveline de Grandpré à La Nouvelle-Orléans à la deuxième moitié du XVIIIe siècle.[11]

Portes[]

ACB San Donato Courtisane Bourreau

La Courtisane barrant la route au Forgeron

Présentes lors des séances d'entraînement virtuel d'Abstergo, les portes se refermaient derrière un individu en fuite, barrant la route à son poursuivant et permettant ainsi de le distancer.

Cet élément existait sous forme de porte à deux battants ou d'une herse.[3][4][1][8]

Plateformes instables[]

Lustres[]

Amas de neige[]

Galerie[]


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