Nouvelles explosives est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob et d'Evie Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Alexander Graham Bell présenta son nouveau modèle de bombe voltaïque aux jumeaux Frye.
Dialogue[]
- Bell: Argh. Oh, Jacob, Evie, c'est vous. Dieu merci.
- Evie: Seriez-vous en pleine expérience, Aleck ?
- Bell: Exact.
- Jacob: Ça a l'air plutôt ébouriffant.
- Bell: Pardon. C'est à cause de ces rustres que Starrick ne cesse d'envoyer pour m'acheter. Il m'a proposé une somme absolument effarante.
- Jacob: Aleck, tu ne comptes pas quitter le navire, quand même ?
- Bell: Jamais ! J'ai conçu cette petite chose au cas où ils se feraient trop pressants. Elle étourdira un assaillant, si besoin est.
Bell montra le nouveau modèle de bombe aux jumeaux.
- Evie: Vous croyez que ça va marcher ?
- Bell: Je n'en sais rien. J'en ai fabriqué trois avec, entre autres, différents degrés d'acidité. L'une d'elles devrait marcher.
- Jacob: Allons les essayer sur des hommes de Starrick, alors.
- Bell: À propos de Starrick, il propage toujours de fausses informations.
- Evie: Nous pourrions détruire ses émetteurs.
- Bell: Sa société est trop bien gardée. Ces bombes seront sans doute utiles, mais il serait dommage de fabriquer des bombes étourdissantes qui soient sans effet...
Deux hommes de Starrick passèrent devant l'atelier de Bell.
- Bell: Attendez un peu, je crois que l'occasion se présente d'elle-même. Bon sang ! Ils n'avaient pas l'air si mauvais, jusqu'ici.
Jacob s'apprêta à sortir affronter les Blighters.
- Jacob: Reste en retrait, Aleck.
- Bell: Nous allons plutôt jouer à un petit jeu de linguistique. Emportez ces bombes et grimpez sur le toit. Et quand je prononcerai le nom d'un condiment, lancez-en une sur ces gredins.
- Evie: Très bien.
- Bell: Oh, attendez ! J'ai failli oublier...
Bell alla chercher des semelles spéciales pour les jumeaux.
- Bell: Glissez ceci dans vos bottes, vous serez protégés de toute décharge voltaïque ! Enfin, je crois.
Bell fit face aux Blighters tandis que l'un des deux jumeaux rejoignit les toits.
- Bell: Bonjour, Messieurs. Je vous offrirais volontiers du thé, mais on m'attend ailleurs.
- Bill: Assez de politesses. On est venus réduire ton atelier en cendres, pas vrai, Baz ?
- Baz: Tu as l'un de ces télé-quelqu'chose ici, pas vrai ? Et tu t'en sers pour lire les messages de la Starrick Company ?
- Bell: Cette notion est tout aussi grotesque que l'idée que la Starrick Telegraph Company diffuse des informations impartiales, Monsieur.
- Baz: Répète ça ?
- Bell: Les promesses de votre employeur ne sont que du vent. Et ses activités vont tourner au... VINAIGRE !
L'un des deux jumeaux lança une bombe voltaïque aux pieds des Blighters, mais un simple nuage de fumée s'en échappa.
- Bill: C'est quoi, ces histoires de vent et de vinaigre ?
- Baz: Ah, je me sens tout chose...
- Bill: C'est répugnant... Oh.
Les Blighters vomirent.
- Bill: Ah, bon Dieu...
- Bell: Ces gamins ! Toujours à faire des farces aux honnêtes gens...
Les Blighters s'approchèrent de l'atelier de Bell, suivis de loin par l'un des deux jumeaux.
- Bill: Écoute bien, Bell, si tu ne veux pas que je te sonne les cloches.
- Bell: Oh, un jeu de mots. Votre esprit me surprend ! À votre allure, je vous aurais pris volontiers pour les derniers des CORNICHONS !
L'un des deux jumeaux lança une autre bombe aux pieds des Blighters, celle-ci à l'odeur désagréable.
- Baz: Cornichons ?
- Bill: Je crois qu'il essaie d'être drôle...
- Baz: Pouah ! Tu t'es encore oublié, Bill, et ça pue...
- Bill: C'est pas moi, Baz. Ah, bon Dieu, ma gorge...
- Bell: Ces petits diables ont encore lancé des bombes puantes. Ça arrive tout le temps, par ici.
Les Blighters s'approchèrent de Bell d'un pas menaçant.
- Baz: Bon, dis-nous où il est, ce télé-chose. Je compte jusqu'à trois.
- Bell: Trois ? Bien, alors voyons jusqu'où vous irez !
- Baz: Un...
- Bell: Vous croyez vraiment que je le garderais ici ? Voyez-vous un câble ? Un télégraphe sans câble est aussi utile qu'une cloche sans battant.
- Baz: Je vais t'en donner, du battant, moi !
- Bell: Oh, vous êtes tout rouge. Auriez-vous mangé du PIMENT ?
L'un de deux jumeaux lança la dernière bombe qui électrisa les Blighters comme attendu.
- Baz: Piment ?
- Bill: Je me sens tout patraque, Baz !
- Bell: Vous êtes sous le choc, mon bon ami.
- Bill: Qu'esse tu dis ?
L'un des jumeaux assassina les Blighters.
- Jacob: Ha, bravo, Aleck !
- Bell: C'est grâce à vous, Jacob. Votre présence m'a donné un courage et une résolution qui me surprennent.
- Evie: Eh bien, fabrique-nous quelques autres bombes et nous irons nous occuper de la propagande de Starrick, d'accord ?
- Bell: Dépêchons, nous n'avons pas toute la journée !
Si Evie avait protégé Bell, le dialogue aurait été différent.
- Evie: Beau travail, Aleck.
- Bell: C'est grâce à vous, Evie. Votre présence m'a donné un courage et une résolution que j'ignorais.
- Evie: Ravie d'avoir été utile. Il est temps d'aller mettre en échec l'empire de propagande de Starrick.
- Bell: Dépêchons, nous n'avons pas toute la journée !
Jacob prit les rênes de la carriole de Bell et tous deux firent route vers le poste télégraphique.
- Bell: Plus longtemps nous empêcherons Starrick de diffuser de fausses informations, plus nous pourrons révéler au grand public la vérité sur ses activités.
- Jacob: Alors, qu'est-ce qu'on attend ?
- Bell: C'est incroyable, mais ma mère m'a dit que certaines de ses voisines croyaient toujours aux vertus de ce Sirop calmant. Alors, j'ai pris la liberté de lui dire la vérité sur cette immonde mixture.
- Jacob: Tu as bien fait, Aleck, mais tu ne peux pas frapper à toutes les portes.
- Bell: Non. Surtout que je n'ai pas toujours eu bon accueil... il est aussi difficile d'éradiquer les mensonges que d'oublier les injures des poissonnières de Billingsgate.
- Evie: Ou les rats d'égout.
- Bell: Mais si nous parvenons à éradiquer la source de ces informations mensongères, alors, petit à petit, la vérité triomphera et ces inepties disparaîtront.
- Jacob: Nous y sommes. On ne leur fera pas de cadeau.
- Bell: Je vous rappelle qu'il va falloir entrer sans nous faire repérer.
- Evie: Moi, je les étourdis et toi, tu rentres.
- Bell: Je ne détruirai pas une pièce du transmetteur, mais trois. Il en sera quitte pour danser d'un pied sur l'autre devant une vespasienne !
Si Evie accompagnait Bell, le dialogue serait le suivant.
- Bell: Plus longtemps nous empêcherons Starrick de diffuser de fausses informations, plus nous pourrons révéler au grand public la vérité sur ses activités.
- Evie: C'est vrai, plus tôt nous y serons, plus vite nous pourrons agir.
- Bell: C'est incroyable, mais ma mère m'a dit que certaines de ses voisines croyaient toujours aux vertus de ce Sirop calmant. Alors, j'ai pris la liberté de lui dire la vérité sur cette immonde mixture.
- Evie: Très bien, Aleck, mais vous n'allez pas vous rendre dans tous les foyers de Londres.
- Bell: Non. Surtout que je n'ai pas toujours eu bon accueil... il est aussi difficile d'éradiquer les mensonges que d'oublier les injures des poissonnières de Billingsgate.
- Evie: Ou la vermine de Smithfield.
- Bell: Mais si nous parvenons à éradiquer la source de ces informations mensongères, alors, petit à petit, la vérité triomphera et ces inepties disparaîtront.
- Evie: C'est bien notre intention !
- Bell: Je vous rappelle qu'il va falloir entrer sans nous faire repérer.
- Evie: Je les étourdirai pendant que vous entrerez.
- Bell: Je ne détruirai pas une pièce du transmetteur, mais trois. Il en sera quitte pour danser d'un pied sur l'autre devant une vespasienne !
Bell et l'un des deux jumeaux arrivèrent au poste télégraphique.
- Bell: Quelle magnifique machine. Dommage qu'elle soit au service d'esprits corrompus ! Ah... J'espère que les gardes ne viendront pas ici.
L'un de deux jumeaux protégea Bell des gardes.
- Bell: Eh bien, cela commence à devenir drôlement périlleux !
Par le ciel, j'ai failli me faire mal !
Ce n'est pas passé loin !
Bell sabota le premier transmetteur.
- Bell: Ha ! Je t'ai eue, machine scélérate ! Nous allons devoir traverser ici.
Bell sabota le second transmetteur.
- Bell: Celle-là est un peu rétive, mais je l'ai arrachée comme un dentiste arrache une dent gâtée ! Voilà.
- Jacob: Passe à la pièce suivante, Aleck.
Evie réagirait différemment.
- Evie: Activez-vous, Aleck.
Bell et les jumeaux rentrèrent à l'atelier.
- Bell: Mes chers Jacob et Evie, je dois de nouveau vous remercier d'avoir défendu cette valeur qui m'est si chère, à moi et à notre cause : la liberté d'expression.
- Evie: C'est une chance que vous mettiez votre génie au service du bien commun, Aleck.
- Jacob: Il n'empêche, tu ferais quand même mieux de quitter ton atelier.
- Bell: Inutile, votre courage est devenu une véritable inspiration. Sans compter que mes petites machines m'offrent toute la protection dont j'ai besoin. Si par le plus grand des hasards, vous aviez un moment de libre, passez donc me voir !
Jacob et Evie quittèrent l'atelier d'un air enjoué.
Conséquences[]
Les jumeaux testèrent la bombe voltaïque et aidèrent Bell à saboter les transmetteurs de la Starrick Telegraph Company.