- Cette page concerne la mémoire de Ratonhnhaké:ton. Vous recherchez peut-être la celle d'Arbaaz Mir ?
Le sauvetage est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Ratonhnhaké:ton, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description
Connor et Robert Faulkner sillonnèrent la Côte Est à bord de l'Aquila pour répondre à l'appel à l'aide d'Amanda Bailey, inquiète suite aux attaques répétées du Randolph.
Dialogue
- Amanda: Ohé, Bobby !
- Connor: Vous lui faites confiance ?
- Faulkner: Plus qu'à quiconque, capitaine.
- Amanda: Bonjour. Je suis Amanda. Vous devez être le capitaine.
- Faulkner: Alors, que se passe-t-il, Amanda ?
- Amanda: Vous débarquez dans ma taverne sans prévenir pour recruter des officiers. Et quelques jours plus tard, j'apprends que le Fantôme des Mers du Nord rôde dans l'Atlantique. L'Aquila est de retour et j'ai besoin de son aide. Nicholas Biddle navigue pour les Patriotes aux commandes du Randolph. Mais il ravage les côtes du Nantucket en prétendant que c'est une place Loyaliste.
- Connor: Où est-il, en ce moment ?
Des tirs se firent entendre non loin du navire.
- Amanda: Quand on parle du loup...
- Faulkner: Abritez-vous, Mandy, c'est plus sûr en bas.
- Connor: Je tiens à voir ça de mes yeux.
Connor grimpa au mât de l'Aquila et vit un navire marchand en mauvaise posture à travers sa longue-vue. Il prit ensuite la barre en direction du lieu de l'agression.
- Connor: Le Randolph attaque un navire marchand non loin d'ici.
- Faulkner: Vos ordres ?
- Connor: Nous devons découvrir ce que mijote Biddle, et sans tarder. Qu'est-ce vous savez au sujet de Biddle ?
- Faulkner: Le Congrès lui confie soudain un nouveau navire. De second chez les Anglais, il devient le capitaine d'un fleuron de la marine coloniale. Ça ne tient pas debout.
L'Aquila fit cap sur le lieu de l'embuscade.
- Faulkner: Le vent redouble, capitaine. Maintenez le cap !
Le vent va nous pousser sur ces rochers ! Virez !
Une tempête gronde, capitaine. Et pas des moindres.
Une vague scélérate fonça droit sur l'Aquila, mais Connor donna l'ordre à l'équipage de s'abriter juste à temps.
- Faulkner: Bien joué. On l'a échappé belle.
Une deuxième vague scélérate apparut.
- Faulkner: Une autre, capitaine. À vous de jouer.
L'Aquila arriva sur les lieux.
- Faulkner: Le Randolph s'éloigne. Faut-il le poursuivre ?
- Connor: On ne peut pas laisser ce vaisseau marchand à la merci des Anglais.
- Faulkner: À quoi Biddle joue-t-il ? Nantucket est du côté des Patriotes !
- Connor: À voir ses fréquentations, j'ai l'impression qu'il obéit à un autre camp.
L'Aquila coula les agresseurs.
- Faulkner: Ils nous saluent. Ils ne craignent plus rien. On fait quoi maintenant ?
- Connor: On poursuit le Randolph.
L'Aquila se lança à la poursuite du Randolph.
- Connor: De quel camp ?
- Faulkner: Anglaises, à en juger par leurs focs.
- Connor: Où est le Randolph ?
- Faulkner: Disparu, capitaine. Il a filé. Il nous laisse aux prises avec ceux-là. Mais cette tempête m'inquiète nettement plus !
- Connor: Nous n'avons plus le choix !
- Faulkner: Non. Tirez vos salves entre les vagues ! Puis nous DEVONS nous abriter, la mer est plus dangereuse que les boulets !
L'Aquila coula les frégates anglaises.
- Faulkner: Il est grand temps de se mettre à l'abri de ce grain, capitaine.
- Connor: Vous avez raison, monsieur Faulkner ! Cap sur le Vineyard.
L'Aquila échappa à la tempête.
- Connor: Je n'ai jamais vu un temps pareil.
- Faulkner: C'est rare, mais vous nous avez sorti d'affaire. Mais je suis inquiet de savoir Biddle avec les Patriotes. Pourquoi aide-t-il les Anglais ? D'anciens amis, peut-être ?
- Connor: Comment persuaderiez-vous le Congrès Continental que la marine a besoin de navires ?
- Faulkner: L'augmentation du nombre d'attaques anglaises est raison suffisante. Des canonnières au Vineyard, maintenant ceci...
- Connor: Hm... Biddle fera tout pour s'assurer de devenir le premier amiral de la marine coloniale.
- Amanda: Vous savez naviguer, capitaine ! Je vous ai regardé depuis le pont-batterie.
- Faulkner: Qu'est-ce que vous faisiez sur le pont-batterie ? Je vous avais dit de rester à l'abri !
- Amanda: Je vais bien, Bobby. Ne t'en fais pas.
Amanda s'adressa à Connor.
- Amanda: Les habitants du Nantucket vous sont reconnaissants. Et moi aussi.
Amanda se tourna de nouveau vers Robert.
- Amanda: Contente de te retrouver.
Amanda claqua amicalement le postérieur de Faulkner et s'en alla. Connor regarda curieusement Robert avant de tourner son regard vers l'océan.
Conséquences
Connor porta secours au navire marchand et en apprit sur la véritable allégeance de Nicholas Biddle.