Le chat et la souris est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob et d'Evie Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Karl Marx doit retrouver des sympathisants sans attirer l'attention de la police.
Dialogue[]
- Policier: Pour la dernière fois, partez, sinon...
- Marx: Vous ne m'intimiderez pas ! J'exige d'être entendu !
- Policier: Aurions-nous commis un méfait, Monsieur ?
- Marx: Le pire des crimes ! Un crime contre l'humanité ! J'exige que vous assumiez vos responsabilités !
- Policier: Vous ne semblez pas vraiment responsable vous-même. Vous avez tout d'un mendiant ! Écoutez-moi ! J'ai ordre de disperser tout rassemblement sur la voie publique !
- Marx: Non, vous, écoutez-moi ! Le peuple de cette ville a désespérément besoin de votre aide !
Le policier s'en alla et Marx reconnut les deux jumeaux.
- Marx: Ah, vous êtes Jacob Frye, n'est-ce pas ? Et miss Frye ?
- Evie: Vous en savez plus que nous, Monsieur...
- Marx: Karl Marx. Tout comme vous, je suis une sorte d'activiste.
- Jacob: Vous m'avez tout l'air d'un homme de convictions.
- Marx: Et vous, vous avez fait plus pour les habitants de Londres qu'aucun autre mouvement au cours des dix dernières années. Mais ces gens n'étaient pas totalement démunis. Je vous mets au défi d'aider ceux qui ont réellement besoin d'assistance. La classe ouvrière.
- Evie: Un défi intéressant. On accepte.
- Jacob: Est-ce qu'on ne devrait pas discuter de ça av... D'accord, on accepte.
L'Assassin suivit Marx.
- Marx: J'organise une réunion confidentielle avec quelques sympathisants afin de discuter des syndicats. Hélas, la police est au courant de mes activités. Ils ne me lâchent pas d'une semelle, de vrais mouches à (merde). Quoi qu'il en soit, il faut que vous m'aidiez à préparer cette réunion sans que la police soit au courant.
Marx et s'aventura s'aventurèrent dans une allée.
- Marx: Vous voyez ? C'est l'un de leurs satanés espions.
L'Assassin élimina les espions et Marx trouva l'un de ses sympathisants.
- Marx: Ce soir. À la nuit tombante. L'endroit habituel.
- Sympathisant 1: J'y serai.
Marx se tourna vers l'Assassin.
- Marx: Vous savez, la police me suivait aussi à Paris. Enfin, à Paris et à Bruxelles. Et peut-être aussi à Cologne. Le prochain sympathisant nous attend dans un pub voisin ! Allons-y ! Je suis certain que les agents de la police ont déjà infiltré les lieux. Je vais attendre que la voie soit libre.
L'Assassin fit diversion à l'extérieur du pub pour faire sortir l'espion, qu'il élimina. Marx retrouva alors le second sympathisant près du comptoir.
- Marx: L'endroit habituel. Dans une heure.
- Sympathisant 2: Très bien. Entendu, Mr Marx.
Marx et l'Assassin sortirent du pub.
- Marx: Je crois que nous en avons fini. Venez, il est temps de leur fausser compagnie et d'aller à la réunion. Je vous sais gré de votre aide dans cette affaire. Nous ne pourrons obtenir les réformes qui s'imposent que lorsque les travailleurs auront gagné le droit de se rassembler librement. Pourriez-vous rester près d'ici jusqu'à la fin de la réunion ? Tout danger n'est pas encore écarté.
Marx et l'Assassin surprirent un troisième sympathisant en train de dénoncer le sociologue aux autorités.
- Simon: Je vous l'ai dit, Marx y sera ! Il me l'a annoncé en personne ! Bon, et pour mon argent ?
- Policier: Tu auras tes trente deniers, mon gars, ne t'en fais pas.
Marx s'adressa à l'Assassin.
- Marx: Nous sommes perpétuellement vendus par nos sympathisants. Pourriez-vous m'amener cet homme ? J'aimerais lui demander, les yeux dans les yeux, pourquoi il trahit ses frères.
L'Assassin enleva le traître.
- Simon: Eh, qu'est-ce que... Vous faites une grossière erreur !
L'Assassin amena le traître au-devant de Marx.
- Marx: Simon. Mon ami. Pour quelle raison as-tu fait ça ? Le parti n'a-t-il pas pris soin de toi ?
- Simon: Le chef, à l'atelier, dit que tous ceux qui font partie d'un syndicat perdront leur travail. Combien de temps le parti fera manger ma famille ?
- Marx: Si nous ne faisons pas bloc, nous sommes perdus. Tu me brises le cœur, Simon. Va-t'en.
Simon s'en alla.
- Marx: Je vous remercie. J'espère que vous continuerez à lutter pour la causer quand l'occasion se présentera.
Conséquences[]
Les jumeaux Frye escortèrent Karl Marx à sa réunion secrète entre sympathisants du Parti communiste.