Hissez le pavillon noir est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Edward Kenway, revécue en 2013 par un chercheur d'Abstergo Entertainment à travers l'Animus.
Description
Ayant pillé suffisamment d'or, Benjamin Hornigold et Edward Kenway s'en prirent alors au métal que transportait la marine espagnole.
Dialogue
Edward retrouva Edward Thatch et Hornigold.
- Hornigold: La journée a été bonne. Continuons comme ça et Nassau sera la première ville où les hommes et les femmes pourront vivre comme Dieu l'a voulu, libres et insouciants. Voilà la recette. Quelques gouttes de sang, de sueur et un bout de tissu.
- Thatch: On n'affiche pas nos couleurs ici, on se réjouit de leur absence. Ce drapeau noir ne signale ton allégeance qu'à une chose : les libertés naturelles de l'homme. Celui-là est à toi. Sois-en fier.
- Edward: Je le serai.
- Hornigold: Rends-moi le document que je t'ai prêté. Si l'on veut que cette république survive, il nous faudra autant de canons que d'or.
- Edward: Ça veut dire qu'on va attaquer la marine.
- Hornigold: Seulement celle aux couleurs de Philippe, pas question d'offusquer notre monarque.
Edward et Hornigold remontèrent à bord du Jackdaw.
- Hornigold: Tu as dû remarquer que dans ces eaux, on trouvait trois fois plus de navires marchands que de navires militaires.
- Edward: Aye. Des proies faciles, mais qui rapportent peu.
- Hornigold: Si tu veux faire sortir la marine de sa cachette, je te conseille de te faire remarquer.
- Edward: Attraper des petits poissons pour attirer les gros.
- Hornigold: T'as tout compris. Alors n'hésite pas à piller tout ton saoul, capitaine Kenway.
Edward attaqua et pilla quelques navires avant d'être connu.
- Adewalé: Voile en vue ! Un brick militaire à l'horizon.
- Hornigold: Tu as l’œil, toi. Tu te sens prêt, Kenway ? Celui-là ne se laissera pas faire sans combattre.
- Edward: Vous êtes d'avis de prendre ce brick, les gars ? Faites-vous entendre ! Voilà le genre de raffut que j'aime. Tous à la manœuvre ! Armez les pièces !
- Hornigold: Méfie-toi de la marine royale. Ses capitaines aiment tout autant tirer qu'éperonner.
- Edward: On va essayer ces barils de poudre. Ça fera de bonnes mines.
- Hornigold: Oui. Bonne idée.
Edward immobilisa le navire.
- Edward: À l'abordage, les gars ! Cognez ferme et faites-leur goûter à l'acier anglais !
Ils abordèrent le navire et pillèrent son métal.
- Edward: Ah, on s'est bien battus ! Quelle est la prise ?
- Hornigold: Conséquente, c'est certain ! Je crois qu'il est temps de graisser quelques pattes pour se faire oublier.
- Edward: Excellente idée, mais comment va-t-on de débarrasser de cette notoriété ?
- Hornigold: En payant, mon gars. Un pot-de-vin versé au fonctionnaire adéquat, et les militaires fermeront les yeux.
- Edward: Je vois. Je crois que je vais devoir aller rendre visite à ces Samaritains au plus tôt.
- Hornigold: Tu comprends vite.
Edward retourna à Salt Key, et y soudoya un officier local. Ensuite, il acheta de nouveaux canons pour le Jackdaw.
- Hornigold: Tu m'impressionnes, Kenway. Tu as un vrai don pour ce genre de travail.
- Edward: Quand on aime ça, c'est pas du travail.
- Thatch: Ha ! Ha ! C'est ça !
- Edward: Mais je ferai pas toujours ça, les gars. Juste assez pour payer de quoi m'acheter des terres et un peu d'influence au pays.
- Hornigold: Seigneur, tu divagues, mon jeune ami. Tu rêves toujours à ce jupon échoué en Angleterre alors que tu pourrais avoir toutes les femmes du monde ici-même.
- Edward: Ah, vous visez trop haut pour moi, messieurs. Et dire que je croyais être en compagnie de vauriens. Une belle prise, aujourd'hui. Comment est l'équipage, mon ami ?
- Adewalé: Tous les hommes ont le sourire. Et certains parlent d'aller retrouver Master Kidd pour aller s'attaquer à une plantation.
- Edward: Une plantation ? C'est ambitieux.
- Adewalé: Et profitable aussi, si on rate pas notre coup.
- Edward: Aye. On va pas le rater.
Conséquences
Edward pilla suffisamment de métal pour améliorer ses canons avant de s'en aller retrouver James Kidd.