L'hippodrome de Constantinople était l'arène hippique monumentale de Constantinople, la capitale de l'Empire byzantin. En son centre dominait l'obélisque de Théodose et un point d'observation était au sommet de l'une de ses colonnes extérieures.
Histoire
Origine et délabrement
L'Hippodrome était auparavant l'un des exemples les plus purs des origines grecques classiques de Constantinople. Bien que sa structure date de l'époque pré-romaine alors qu'elle portait le nom de Byzance, il fut élargi et amélioré par Constantin le Grand et il fut encore utilisé durant presque 800 ans.
Il commença néanmoins à s'écrouler après 1200, autour de la quatrième croisade, quand les armées chrétiennes de l'ouest, envoyées par le Pape Innocent III, mirent la ville à sac sur le chemin de la Terre Sainte.
À l'époque où l'Empereur Byzantin Michel Palaiologos captura la ville en 1261, l'Hippodrome était en très mauvais état et l'Empereur ne fit rien pour restaurer le monument. Lorsque les Ottomans prirent la ville en 1453, tout espoir fut perdu comme les Turcs n'appréciaient pas les courses de chars.
Renaissance
En 1511, Yusuf Tazim y donna rendez-vous à Ezio Auditore da Firenze afin d'empecher un attenta envers la personne du Prince Suleiman. La même année, un autre Assassin y suivit la comédienne meurtrière Lysistrata où il trouva les corps de ses victimes. Ezio y retourna pour y trouver un livre, Le Livre des Merveilles, écrit par Marco Polo.[1]
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