La quatrième partie du monde est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Ezio Auditore da Firenze, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description[]
Ezio arriva au port, où il vit son vieil ennemi Duccio de Luca séduire Sofia Sartor.
Dialogue[]
Duccio séduisait Sofia quand Ezio les surprit.
- Duccio: Mia cara ! (Ma chérie !) La roue de Fortune nous a réunis. Deux Italiani (Italiens) seuls et perdus en Orient. Ne ressentez-vous pas ce magnetismo (magnétisme) ?
- Sofia: Je ressens bien des choses, messere, de la nausée en particulier.
- Ezio: Cet homme vous importune, Sofia ?
- Duccio: Pardonnez-moi, messere, mais je disais à cette dame...
Duccio se retourna et reconnut Ezio.
- Duccio: Ah ! Il diavolo in persona ! (Le diable en personne !) N'approchez pas !
- Ezio: Duccio. Comme on se retrouve...
- Duccio: Fuyez buona donna ! (madame !) Sauvez-vous !
- Sofia: Qui était-ce ?
- Ezio: Un cane. (Un chien.) Il était fiancé à ma sœur il y a bien longtemps.
- Sofia: Et que s'est-il passé ?
- Ezio: Son cazzo (outil) était déjà fiancé ailleurs. Chiedo venia. (Pardonnez-moi.) Que venez-vous faire à cet endroit ?
- Sofia: J'ai interrompu mon travail pour récupérer un colis, mais ils disent que les papiers ne sont pas en règle. Donc, j'attends. Che seccatura. (C'est ennuyeux.) Tout cela peut durer des heures.
- Ezio: Laissez-moi vous aider. Il y a des règles que j'ai appris à contourner.
- Sofia: Vraiment ?
- Ezio: Sì. (Oui.) Je vous retrouverai à la boutique.
Ezio monta à bord du bateau saisi et identifia le paquet de Sofia au milieu de la cargaison.
- Ezio: Sofia Sartor. Perfetto. (Parfait.)
Ezio s'échappa du secteur et retourna à la boutique de Sofia.
- Sofia: Bonjour, Ezio. Alors ?
- Ezio: Madamigella (Mademoiselle) Sofia Sartor, libraia (libraire), Constantinopoli.
- Sofia: Oh non ! Il est endommagé. Comment l'ont-ils mis dans un état pareil ? Bien, elle a l'air intacte.
Sofia ouvrit son colis et admira la carte qu'il contenait.
- Sofia: Ah, magnifique ! C'est une copie d'une carte de Martin Waldseemuller. Vous voyez ? Les nouveaux territoires décrits par messer (monsieur) Amerigo Vespucci.
- Ezio: Pauvre Christoforo Colombo. L'Histoire s'écrit d'une étrange manière.
- Sofia: Et que dites-vous de cette immense étendue d'eau, ici ?
- Ezio: Un nouvel océan, peut-être ? La plupart des érudits que je connais pensent que la taille du globe est sous-estimée.
- Sofia: Incredibile. (Incroyable.) Plus nous en apprenons sur le monde, moins nous le comprenons.
Sofia chercha un papier sur son bureau et le remit à Ezio.
- Sofia: Bien, vous avez tenu parole, à moi d'honorer ma promesse. Si nous avons vu juste, ceci vous indiquera l'emplacement du premier livre. Je vous avoue que je rêve du jour où je verrai enfin ces livres. Toute cette sagesse que le monde a perdue, nous devons la lui restituer. Je pourrais en imprimer quelques exemplaires et les faire circuler. Une petite cinquantaine. Ça devrait suffire...
Ezio gloussa.
- Sofia: Perché ridi ? (Pourquoi riez-vous ?)
- Ezio: Pardonnez-moi. Votre passion est si noble et originale qu'elle m'emplit de joie. C'est même... exaltant.
- Sofia: Grand Dieu. Que répondre à cela...
- Ezio: Grazie (Merci), Sofia. Je reviendrai.
Conséquences[]
Ezio rapporta le colis à Sofia et apprit l'emplacement du premier livre des Polo.