Une esclave en péril est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Aveline de Grandpré.
Description
Ayant appris la disparition d'un certain nombre d'esclaves, Aveline infiltra une plantation et mena son enquête.
Dialogue
Aveline adopta l'apparence d'une esclave.
- Lettre: Il va y avoir une livraison cette nuit à la plantation, profites-en. Cache-toi dans un chariot et suis les livreurs jusqu'à leur destination sans te faire repérer.
Aveline alla aux portes de la ville et se cacha dans le chariot qui la mena à la plantation. Une fois arrivée, elle parla aux esclaves.
- Esclave: Qui es-tu ? Comment as-tu trompé les gardes ? On a déjà trop de problèmes ici. On n'a pas besoin de ça.
- Aveline: Je suis Aveline. Une amie. Des esclaves ont fui cet endroit, mais personne ne les a revus nulle part. Mes contacts craignent le pire.
- Esclave: Si tu es une espionne, Aveline, tu ne trouveras pas le moindre coupable ici. Mes frères ont disparu. Puis ma tante. Ce matin, ma plus jeune sœur, Thérèse. Mais ils ne se sont pas enfuis, ils ont été ENLEVÉS. Et puis Thérèse... sait qu'elle ne peut survivre sans nous.
- Aveline: Je la retrouverai. Si des gens ont traversé ces champs, ils ont dû laisser des traces...
Aveline escalada la demeure de la plantation et étudia la zone, localisant Thérèse dans une grange.
- Aveline: N'aie pas peur, Thérèse. Je suis une amie. Qui t'a fait ça ? Ton maître ?
- Thérèse: Non... Son fils... Oh ! Aidez-moi, par pitié...
- Aveline: Allez, tiens bon. Je vais t'emmener en lieu sûr...
Le fils du maître de la plantation fit irruption dans la grange.
- Fils: Toi, tu vas me le payer... Gardes ! Vite ! Il y a des rats dans la grange !
Aveline affronta le fils du propriétaire et ses hommes, et se procura une machette une fois débarrassée d'eux.
- Thérèse: C'est un cauchemar ! Je n'en peux plus !
- Aveline: Il ne te fera plus jamais de mal. Viens. Nous devons faire vite.
Aveline escorta Thérèse hors de la plantation.
Conséquences
Aveline prit connaissance de l'enlèvement des esclaves et porta secours à Thérèse.