- Cette page concerne la mémoire d'Assassin's Creed II. Vous recherchez peut-être celle d'Assassin's Creed: Revelations ?
Un accueil chaleureux est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Ezio Auditore da Firenze, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description
Après avoir été intronisé dans la Confrérie des Assassins, Ezio Auditore fut chargé de mettre la Pomme d'Éden en sécurité. Son oncle, Mario Auditore, lui suggéra de l'emmener dans la ville fortifiée de Forlì, pour la remettre à leur alliée, la comtesse Caterina Sforza.
Ezio accompagna Niccolò Machiavelli en Romagne. Ce n'est qu'arrivés qu'ils apprirent que Forlì avait été prise par les frères Orsi dans l'espoir de récupérer la carte de Girolamo Riario indiquant l'emplacement des dernières pages du Codex. Caterina demanda alors à Ezio d'infiltrer la ville par les tunnels pour ensuite leur en ouvrir les portes.
Dialogue
En arrivant à Forlì, Ezio aperçut Caterina et Niccolò.
- Caterina: Tiens, tiens, regardez qui est là.
- Ezio: Madonna.
- Caterina: J'ai tout de suite compris que vous n'étiez pas n'importe qui, mais... un Assassin... hmmmm ?
Ezio marcha aux côtés de Caterina et Niccolò.
- Caterina: Suivez-moi, trésor. Vous allez adorer Forlì ! Les canons de notre belle citadelle sont centenaires. Je puis vous garantir que votre relique y sera en sécurité.
- Ezio: Pardonnez-moi, mais je n'avais jamais rencontré une femme qui gouverne sa propre cité. Je suis un peu impressionné.
- Caterina: Eh bien... autrefois, c'est mon mari qui régnait, mais... Il est mort.
- Ezio: Oh. Je suis désolé.
- Caterina: Je l'ai fait assassiner.
- Ezio: Oh...
- Niccolò: Nous avons découvert que Girolamo Riario travaillait pour le compte des Templiers. Il dressait une carte des lieux où sont cachées les autres pages du Codex.
- Caterina: Je n'ai jamais porté ce sale traître dans mon cœur. C'était un mauvais père, un amant médiocre, et un compagnon exécrable.
Niccolò vit un grand nombres d'habitants fuir la cité.
- Niccolò: Regarde !
- Caterina: Oh non...
Caterina interpella une habitante.
- Caterina: Attendez ! Que se passe-t-il ?
- Femme: Ils sont arrivés quand vous avez quitté les remparts, Signora. La cité est attaquée.
- Caterina: Quoi !? Par qui !?
- Femme: Par les frères Orsi, Signora.
Caterina se tourna vers Ezio et Niccolò.
- Caterina: Ah, qu'ils soient maudits !
- Ezio: Qui sont les frères Orsi ?
- Caterina: Les crapules que j'ai engagées pour tuer mon mari !
- Niccolò: C'est l'Espagnol qui est derrière tout ça. Les Orsi ne s'intéressent qu'à l'argent, pas au pouvoir.
- Ezio: Mais comment a-t-il su que la Pomme était ici ? Nous venons à peine d'arriver !
- Niccolò: Ils ne sont pas là pour la Pomme, Ezio. C'est la carte de Riario qu'ils sont venus chercher.
- Caterina: Ne parlez plus de cette carte, Niccolò ! Mes enfants sont à l'intérieur. Oh, porco demonio !
Ezio, Niccolò et Caterina coururent en direction de Forlì, éliminant tout assaillant sur leur chemin.
- Caterina: Ils sont entrés ! Mais ils ne perdent rien pour attendre !
- Ezio: Vous savez s'il existe un autre accès ?
- Caterina: Attendez... Oui, peut-être. Un ancien tunnel, qui longe le mur ouest en partant du canal.
- Ezio: Bene. Je reviens tout de suite.
Ezio s'en alla trouver le tunnel, tandis que Caterina insultait les frères Orsi.
- Caterina: Hé ! Vous ! Oui, vous ! C'est à vous que je m'adresse, bande de chiens galeux ! Alors comme ça, vous occupez MA cité !? Vous occupez MA demeure !? Et vous croyez que je vais rester les bras croisés !? Et si je venais vous émasculer ? Quel genre d'hommes êtes-vous ? Vous êtes prêts à vous rabaisser pour seulement quelques pièces !? Je ne vous fais pas peur, mais croyez-moi, ça va changer ! Je vais vous trancher la tête, je vais me soulager sur vos troncs décapités, et je vais m'essuyer sur vos faces de rats ! Et pour finir, je vous planterai une fourchette dans les bourses, et je les ferai rôtir au feu de bois. Qu'est-ce que vous dites de ça ?
Ezio emprunta le tunnel sous les remparts.
- Caterina: Ça vous amuse ? Vous riez bêtement parce que je suis une femme !? C'est à cause d'EUX que vous ne me croyez pas !? Le tette !! Le mie tette ! Je parie que vous aimeriez bien les voir, pas vrai ? Vous auriez envie de les toucher ? De les lécher, hmm ? Eh bien, qu'est-ce que vous attendez ? Approchez, si vous êtes des hommes... que je vous fiche un bon coup de pied dans l'entrejambe ! Je vais vous les faire cracher par la bouche, vos rognons ! Vous n'êtes que des ordures purulentes ! Je vous conseille de rentrer chez vous, et plus vite que ça ! Sinon, je vous fais empaler et je vous laisse pourrir devant les murs de ma citadelle, jusqu'à ce que vos cadavres soient décomposés. Ahhh ! Attendez... finalement, c'est peut-être pour ça que vous restez. Vous avez envie qu'on vous chatouille le gros intestin avec une pique, avouez ! Dieu tout-puissant ! Je me demande bien où ils sont allés vous chercher ! Laissez-moi deviner... dans un couvent, c'est ça ? De toute ma vie, je n'avais encore jamais vu pareille bande de froussards. Mais regardez-vous un peu ! Quel spectacle pitoyable vous nous offrez ! Déjà que vous n'êtes pas des hommes, qu'est-ce que ce sera quand je vous aurai tous castrés ?!
Ezio ouvrit la porte.
- Caterina: Ezio ! Tu as réussi ! Suis-moi !
Conséquences
Ezio parvint à ouvrir les portes de Forlì.