Dérober est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Altaïr Ibn-La'Ahad, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description[]
Altaïr se retrouva face à deux hommes discutant au sujet d'une importante lettre qu'ils avaient dérobée. L'Assassin prit alors la décision de se procurer cette lettre à la recherche d'informations éventuelles sur Garnier de Naplouse.
Dialogue[]
Altaïr s'approcha des deux hommes et écouta à distance leur conversation.
- Citoyen 1: Qu'as-tu donc là ?
- Citoyen 2: Le Sieur n'avait point de pièce. Juste un tube. Tout ce que j'ai trouvé dedans, c'est un morceau de papier avec des choses dessinées dessus.
- Citoyen 1: Espèce d'idiot ! Ce sont des mots et des lettres !
- Citoyen 2: Pourquoi cet homme a mis des mots et des lettres dans un tube ? Du gâchis, je te dis.
- Citoyen 1: C'est peut-être important ! Donne-moi ça, que j'y jette un oeil.
- Citoyen 2: Oh, ça, sûrement pas ! Tu me le chiperas pas comme l'autre fois !
- Citoyen 1: Faut pas s'énerver ! Amuse-toi tout seul alors.
Alors que les deux hommes se séparaient, Altaïr prit la lettre de la poche de l'un d'entre eux.
Pièce jointe – Lettre[]
Nous progressons lentement. Il faut récupérer ce qui nous a été pris, ou nous risquons d'être découverts avant de n'avoir pu agir. J'ai pu fabriquer un substitut à pase de plantes locales qui les plonge dans un état similaire. Sachez cependant que ses effets sont temporaires et que les sujets peuvent développer une résistance nécesitant une augmentation des doses. Malheureusement, ils ne peuvent en prendre trop du fait des risques d'épuisement. Beaucoup sont morts à cause de cela, et j'en ai le coeur brisé.
Il faut remercier vivement votre homme à Jérusalem pour sa rapidité. Mes réserves suffisent, et je n'ai plus à me fournir sur place, ce qui évite d'éveiller les soupçons. La perte que nous avons subie à Damas me crée du souci, même si l'arsenal à disposition nous permet de résister encore. Il faudra néanmoins le remplacer dans le mois, au risque de contraindre nos soldats à se battre avec des couteaux de cuisine. D'où ma question...
Que pensez-vous faire de l'ennemi ? Je crains que nous ne perdions encore beaucoup d'hommes. Je me sens en sécurité dans l'enceinte de l'hôpital, mais il vaut mieux régler ce problème avant qu'il ne s'aggrave. Mes hommes peuvent vous aider, si nécessaire. Faites-moi simplement part de vos intentions.
Votre frère en paix,
-G.
Conséquences[]
Altaïr trouva une lettre qui établit en lien entre Garnier et deux autres hommes.