Dérober est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Altaïr Ibn-La'Ahad, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description[]
Altaïr croisa deux hommes au marché de Damas, qui évoquèrent une lettre destinée au campement de Salah Al'din. Altaïr décida de se procurer ce document.
Dialogue[]
Altaïr se tint à une distance suffisante des deux hommes et les écouta.
- Citoyen 1: Je vous remercie d'être venu.
- Citoyen 2: C'est un honneur. Que puis-je faire pour vous ?
- Citoyen 1: Portez la lettre que je vous ai remise au camp de Salah Al'din. Cherchez un homme du nom d'Hisham. Il vous aidera. Surtout ne dites rien à personne.
- Citoyen 2: Ma mission restera secrète.
- Citoyen 1: Alors l'affaire est conclue.
Altaïr suivit le porteur de la lettre et la lui déroba.
Pièce jointe – Lettre[]
Que la paix soit sur toi, Hisham.
J'ai fait de mon mieux pour équilibrer les comptes, mais certaines transactions sont tout à fait surprenantes, comme ces versements à destination du régent de Jérusalem et de Guillaume de Montferrat, à Acre.
J'ai d'abord pensé qu'il s'agissait de la rançon exigée par les Croisés pour la libération de nos frères captifs, mais vu la tournure des événements (mes prières les accompagnent), cela semble très improbable. Par ailleurs, cela n'expliquerait pas les versements de Jérusalem. S'il ne s'agissait pas de l'argent d'une rançon, à quelles fins a-t-il été utilisé ?
Il est de mon devoir de t'informer que le palais du Prince des marchands est depuis quelque temps le cadre de fêtes extravagantes. Tout ceci est absurde ! Les habitants de Damas, qui sont prêts à mourir de faim pour soutenir Salah Al'din, constatent que leur argent, destiné à l'effort de guerre, est dépensé en libations ! Ils méprisent profondément le Prince des marchands mais ne peuvent rien faire pour l'arrêter. C'est la raison pour laquelle je t'écris.
N'en parle pas au Prince des marchands pour l'instant. S'il se doute de quoi que ce soit, il fera tout pour dissimuler ses méfaits. Je te recontacterai quand j'en saurai davantage.
Va en paix,
Marzuq
Conséquences[]
Altaïr se procura une lettre détaillant les versements effectués à Majd Addin et Guillaume de Montferrat, et qu'une autre fête était en préparation.